Depuis deux jours maintenant à Dschang, j’essaie de rencontrer le maximum de personnes qui pourraient m’assister dans mon projet (chercheurs, ressortissants de chefferies lointaines, conservateurs de musées, autorités traditionnelles et administratives, notables). Les premiers contacts sont bons, comme toujours au Cameroun. Les sorties sur le terrain vont bientôt pouvoir commencer.